Une rupture amoureuse et voilà Charles Leclerc célibataire, tout entier consacré à une fin de saison que le Monégasque a pour ambition de terminer au volant de la Ferrari devant son coéquipier Sebastian Vettel. A condition d’ »être plus décisif dans les choix de l’équipe ».
L’annonce est passée, il faut bien le dire, plutôt inaperçue: Giada Gianni (21 ans) a annoncé il y a peu sur sa story Instagram la fin de sa relation avec le pilote Charles Leclerc, débutée en 2015. Le Corriere della Serra rapporte ainsi l’information et ce commentaire publié donc sur les réseaux sociaux par la jolie Napolitaine, qu’on avait pris pour habitude de voir évoluer dans les paddocks et aux abords des circuits pour y suivre les performances du pilote monégasque.
« Charles m’a quittée. Il veut se consacrer uniquement à Ferrari », aurait ainsi écrit de façon pour le moins directe l’intéressée au sujet d’une rupture qui serait survenue peu avant le Grand Prix de Belgique, à Spa-Francorchamps, où Leclerc (22 ans), faut-il le rappeler, avait signé la première de ses deux victoires en F1, une semaine avant de rééditer cette performance cette fois à Monza, lors du Grand Prix d’Italie.
Objectif podium du championnat
Le jeune prodige, dont on ne peut qu’imaginer le niveau de pression qui s’exerce sur ses épaules et au sein d’une Scuderia, où il est en passe de supplanter, dès sa première saison dans le baquet de la monoplace au cheval cabré, son illustre coéquipier Sebastian Vettel. Troisième au classement du championnat du monde des pilotes, devant le quadruple champion du monde allemand, Charles Leclerc a pour objectif de conserver ce leadership chez les Rouge jusqu’au soir du dernier Grand Prix à Abu Dhabi en décembre prochain.
Les derniers week-ends, la stratégie n’a pas été bonne
Charles Leclerc (pilote Ferrari)
A condition de retenir les erreurs déjà commises et surtout de savoir les corriger, à l’image de ce scénario récurrent qui, encore le week-end dernier au Mexique, l’a empêché par la faute d’une stratégie défaillante de concrétiser sa septième pole de la saison – personne n’a fait mieux ! – avec à la clé une quatrième place forcément décevante.
« Les derniers week-ends, la stratégie n’a pas été bonne, a certes confirmé auprès de autohebdo.fr un Charles Leclerc lancé sur une stratégie à deux arrêts, qui allait s’avérer perdante, mais à laquelle il n’a pas su ou pas osé se soustraire, se laissant dicter sa conduite depuis le muret. Mais j’aurais dû, à la radio, demander quelque chose et être plus décisif dans le choix et essayer d’aider l’équipe à prendre la bonne décision pour mon côté, ce que Seb (Vettel) a fait, relève-t-il, convaincu que son salut passe par une plus grande affirmation auprès de son écurie et de ses décideurs. J’ai donc besoin d’apprendre de cela et j’espère que cela arrivera avec le temps. »
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